Galerie Jean-Marie Chapuis

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« Paire d’Appliques Louis XVI « Aux Atlantes » »

Modèle aux Atlantes. Fin XVIIIe, début XIXe.
Les bras de lumière prennent naissance,parmi des végétaux,sur un fût en console de forme trapézoïdale à décors d’un masque d’Atlante et supportent des pendeloques en quartz de roche,cristal taillé et « quartz fumé ». Un Atlante en bronze patiné brun nuancé médaille,adossé à un treillis,repose sur l’entablement de la console et supporte un cône en cristal « quartz de roche », taillé en forme d’Obélisque.
Les bras de lumière à enroulement,supportent des bobèches perlées à décors de feuilles d’acanthe sur lesquelles reposent des binets à décors de feuilles d’eau.
Dorure nettoyée,plaquettes remontées au fil de laiton recuit,avec double passage dans les bélières.
Percé et monté à l’électricité.

Galerie Jean-Marie Chapuis

5 Rue du Bailliage. Cour du Bailliage du Roi. Versailles 78000, France

Galerie Pellat de Villedon

ludo ludo2Les chasses de Maximilien
(mois de Novembre) d’après un carton de Bernard Van Orley
Manufacture Royale des Gobelins, Jean Delacroix Père. Commandée par Louis XIV en 1704 pour le château de Fontainebleau
Laine et soie. Restaurations d’usage. H. 420 x L. 337 cm

Le XVIIIe siècle français est connu dans le monde entier pour l’élégance de son
art de vivre, pour ses illustres personnages historiques mais aussi pour
l’exceptionnelle qualité de ses objets d’art. L’oeuvre que nous présentons
aujourd’hui est un excellent témoin de ces trois éléments. Nous avons donc le
plaisir de vous faire découvrir une tapisserie aux dimensions importantes, à
l’incroyable état de conservation, à la fabrication royale et à la destination
prestigieuse.
Pour évoquer le raffinement de cette société, nous ferons tout d’abord référence
à la beauté et à l’utilité d’une telle oeuvre. Ainsi, les tapisseries sont de véritables
tableaux qui habillaient et habillent encore les murs des grandes demeures.
Situées entre deux fenêtres (d’où son nom « d’entre-fenêtres »), ces tapisseries
visaient à rendre plus vivant un espace (à l’heure où les photographies et les films
n’existaient pas), à l’agrandir par la profondeur qu’elles mettaient en scène.

Celle-ci, mesurant 420 cm de hauteur et 337 cm de largeur représente « Les
chasses de Maximilien », plus particulièrement le mois de Novembre
(représenté par le sagittaire dans le médaillon de la frise supérieure). Nous
pouvons y reconnaître la forêt de Soignes par la multitude de détails
colorés que sont les arbres, les feuilles, les branches, les fougères, les animaux
ainsi que par la pièce d’eau. De nombreux chasseurs se mettent à table à
l’occasion d’un banquet accompagnés par leurs serviteurs (ils sont
reconnaissables par le torchon qu’ils portent autour du bras ou du cou).
Comme l’évoque monsieur Laurent Asselineau dans son certificat
d’expertise, cette tapisserie est, en résumé, une véritable « fenêtre ouverte
sur le monde ». Cette tapisserie fait ainsi partie d’une série de douze tapisseries (les autres
étant les onze mois suivants). Elles reprennent les cartons du peintre
Bruxellois Bernard Van Orley, déjà utilisés pour une première série de
tapisseries du même thème (datant du XVIe siècle) et qui est aujourd’hui
conservée au musée du Louvre, qualifiée par ce dernier, dans sa fiche, de « l’un
des chefs-d’oeuvre de l’art de la tapisserie ».

Cette série réalisée bien avant la nôtre, plu suffisamment au plus grand
mécène-monarque : Louis XIV, pour en faire retisser. De cette manière, la
tapisserie que nous présentons fait partie de l’une des séries commandées par
Louis XIV, lui qui était très friand de chasses. Ce roi la commande, par ordre
royal, en 1704 pour le château de Fontainebleau. Il est représenté sur le
dessin par un soleil au centre de l’oeuvre, sur un vase disposé en dessous d’une
table. En plus de présenter le goût du roi le plus célèbre de France, cette tapisserie
est aussi le témoin du concours d’excellence que s’imposaient les
artisans. En effet, les « Chasses de Maximilien » ont été conçues par la
Manufacture Royale des Gobelins, soit dans les meilleurs ateliers de tapisserie
de l’époque. Le maître d’ouvrage est Jean Delacroix Père comme l’indique son
nom tissé en bas à droite. Les couleurs toujours présentes, ainsi que la
complexité du tissage fait de laine et de soie, et l’étonnante expression des
personnages montrent à quel point cette oeuvre est de qualité.

Galerie Ludovic Pellat de Villedon
3 rue du Bailliage 78000 Versailles

Galerie Philippe Leclercq

Rare paire de lits de repos d’époque Louis XVI, en double faces, formant canapés agrémentés de très nombreux coussins.

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Les montants à colonnes détachées sont sculptées de cannelures, de rosaces et feuilles d’eau remontantes.

Cette paire de lits de repos en bois peint sculptés et moulurés reposent sur des pieds à décors de cannelures, l’ensemble des traverses sont sculptées de raies de cœur, surmontées de pommes de pins finement sculptées.

Cette paire de sièges datant de la fin du XVIIIe siècles offre un remarquable confort d’assise et un effet des plus décoratifs .

  • Longueur : 194,5 cm
  • Hauteur : 98 cm .
  • Profondeur :93 cm

Galerie Philippe Leclercq
Versailles

 

Galerie ACC

Rare ROLEX en or Blanc de 1987
Le cosmograph Daytona, la montre née pour la course
Pour les passionnés d’automobiles

Galerie ACC, spécialiste des montres
de grandes marques.
10, rue Rameau Versailles
acc

Galerie Sylvain Rochas

rochasCommode « sauteuse » à deux tiroirs sans traverse, à double ressauts en façade d’époque Transition. Marqueterie de bois de rose, filets, jeux de cube, médaillon central à la musique. Beaux bronzes dorés d’époque.
Marbre brèche d’Alep d’époque
Travail parisien, estampillé P. Defriche
Provenance probable : Duc de Villeroy

Galerie Sylvain Rochas, rue du Bailliage Versailles

 

Le cheval bleu

 

Machiavel (Nicolas) : Le prince

Illustré par Georges Lambert (1919-1998), a exposé à Nice, Paris, New-York, Genève. Traduction de Guiraudet. Belle reliure moderne en plein chagrin noir, premier plat orné d’une illustration dorée, dos à 2 nerfs, titre et tête dorés, sous étui. Couverture conservée. En parfait état.

Paris, Editions André Vial, Ouvrage numéroté N°86 sur 105 ex. sur velin d’Arches spéciale pour aquarelle.

12 Aquarelles originales de l’artiste
25 lettrines
12 culs de lampes
Couverture conservée

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Versailles Design

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Cabinet moderne Circa 1970
Commande particulière réalisée sur mesure. Structure en teck et intérieur en sycomore.
Les lignes architecturales et ornementales sont incontestablement inspirées de l’Asie. (notamment japon)
Les motifs et le travail de marqueterie en sycomore et noyer corroborent cette hypothèse.
Certainement destiné à une fonction précise (cabinet a liqueurs ou alcools..), ce cabinet peut également être une création de support de diplôme en ébénisterie pour l’école Boulle ou l’institut Saint-Luc en Belgique.
Dimensions hauteur 175 cm largeur 80 cm profondeur 50 cm
Versailles Design
Passage de la Geôle
78000 Versailles

Galerie Rémi Dubois

Pendule au caniche d’époque Empire/ Restauration en bronze doré représentant une chaise à dossier concave et pieds sabres entourant le cadran émaillé, sur l’assise un caniche royal tient un fusil et son maître cherche à le soudoyer avec de la nourriture et lui demande d’être discret et de lui rendre le fusil.
Mouvement à fil et en parfait état entièrement révisé.
Modèle rare.
Galerie Rémi Dubois
Village des Antiquaires
Rue de la Pourvoierie
78000 Versailles

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